Sweet, artiste soumis
lundi 29 avril
Me suis couché hier soir, et, malgré une envie et une habitude tenace, je n'ai pas touché à mon sexe. Comme exigé. J'ai caressé mon mamelon gauche, meurtri par les longues minutes précédentes à porter les pinces, tandis que mon autre main glissait un doigt aux abords de mon anus.
Un trajet à faire ce matin. Mes mamelons sont encore légèrement douloureux de la veille. C'est bon.
Sur le retour, arrêté à un stop, je saisi deux pinces en bois au fond de mon sac. Pas le courage de prendre les pinces en plastique. Un feu plus loin, je pose la première, puis la deuxième.
Je les porte encore en ce moment.
Vers 16h00.
L'esprit vagabond toute la journée. Des érections fréquentes.
Je m'isole dans les toilettes. J'aspire mes mamelons à vide, avec une pompe du type "Aspivenin". Petit embout pour le droit pour commencer, puis l'embout moyen, et encore le petit. Petit embout seul pour le gauche. Prise de vue.
17h34.
Mes mamelons demeurent à cette heure particulièrement sensibles.
Bain.Poils inconvenants à la vue des photos précédentes. Projet rasage, mais avant ça pic à brochette en bois, cassé en deux. Quelques coups sur le sein gauche, trois ou quatre autour du mamelon, le dernier atteint exactement le mamelon. Vive douleur. Un coup à droite. Même effet, soudain.
Avant le bain, nouvelle séance de succion. Je teste pour la première fois le plus gros des embouts. J'imaginais le plus petit ayant le plus d'effet, en fait c'est l'inverse… Prise de vue, bain, rasage des seins ainsi que de ma verge et mes testicules, en partie. Culotte de femme en m'habillant. Je la porte encore.
Mes seins sont encore douloureux des traitements infligés ces derniers jours, et plus particulièrement ces dernières heures, mais je bande encore à l'idée de les aspirer de nouveau.