récits & comptes-rendus

Mercredi 8 mai 3 08 /05 /Mai 00:15

mardi 30 avril

 

Finalement hier soir mon mamelon droit fut à nouveau mis à rude épreuve. Une série de succion avec la pompe aspivenin. Successivement : Gros embout, moyen, petit, retour au moyen, pose d'une pince en test, retour au gros, puis le moyen et port d'une pince bois pour finir tout en m'abreuvant d'images de pumping. Je me couchais avec une terrible envie de rompre ce contrat fictif ne me liant finalement à personne, me branler, jouir. Mais je ne le fit pas.

Ce matin je porte encore cette culotte de femme. Et je bande déjà.

Et pour bien commencer la journée, quelques coups cinglant de pic à brochette sur chaque mamelon, 3 ou 4, certains atteignant très exactement mes mamelons ridiculement petits. Aïe.

RdV client. Ai tenté de poser une pince bois sur chaque mamelon. Mais ils sont encore trop sensibles. La pince bois posée d'une seule main ne se ferme que sur l'extrémité. Trop douloureux. Ou pas assez excité…

16h00. Direction la banque. Mais avant… Passage par la salle de bain. Aspiration de chaque mamelon avec la pompe Aspivenin et pose d'une pince bois sur chaque. J'y vais ainsi. C'est décidé.

 

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Retour de la banque. Expérience douloureuse si il en est. J'ai hâte d'ôter ces pinces, les mamelons en feu… Mais je dois écrire d'abord, je m'en fais un devoir. Il fut donc rapidement évident que les pinces, même en bois, après aspiration, sont difficiles à supporter. Rien que les cahots de la voiture sur la route se faisaient ressentir dans chaque sein. Il fut ensuite difficile de marcher. Je ne pu éviter de porter les épaules en avant et de diminuer le ballant des bras. Heureusement pour moi, pas de file d'attente. Par contre je me suis fait un devoir de me tenir bien droit devant la guichetière… 

Allez. retrait et prise de vue.

 

Rien d'autre pour cette journée.

Si ce n'est que jusque dans la soirée mes mamelons demeurèrent particulièrement sensibles, le droit surtout. Parfois le frottement du tissu sur son extrémité créait alors une sensation aiguë identique à la pointe d'une aiguille venant légèrement l'agacer. Le reste du temps, le ressenti était similaire à une suspension de légers poids, comme l'impression permanente de porter une paire de pinces lestées, chaleur diffuse et tiraillement.


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Lundi 6 mai 1 06 /05 /Mai 00:15

lundi 29 avril

Me suis couché hier soir, et, malgré une envie et une habitude tenace, je n'ai pas touché à mon sexe. Comme exigé. J'ai caressé mon mamelon gauche, meurtri par les longues minutes précédentes à porter les pinces, tandis que mon autre main glissait un doigt aux abords de mon anus.

Un trajet à faire ce matin. Mes mamelons sont encore légèrement douloureux de la veille. C'est bon.

Sur le retour, arrêté à un stop, je saisi deux pinces en bois au fond de mon sac. Pas le courage de prendre les pinces en plastique. Un feu plus loin, je pose la première, puis la deuxième.

Je les porte encore en ce moment. 

Vers 16h00.

L'esprit vagabond toute la journée. Des érections fréquentes.

Je m'isole dans les toilettes. J'aspire mes mamelons à vide, avec une pompe du type "Aspivenin". Petit embout pour le droit pour commencer, puis l'embout moyen, et encore le petit. Petit embout seul pour le gauche. Prise de vue.

 

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17h34.

Mes mamelons demeurent à cette heure particulièrement sensibles.

Bain.Poils inconvenants à la vue des photos précédentes. Projet rasage, mais avant ça pic à brochette en bois, cassé en deux. Quelques coups sur le sein gauche, trois ou quatre autour du mamelon, le dernier atteint exactement le mamelon. Vive douleur. Un coup à droite. Même effet, soudain.

Avant le bain, nouvelle séance de succion. Je teste pour la première fois le plus gros des embouts. J'imaginais le plus petit ayant le plus d'effet, en fait c'est l'inverse… Prise de vue, bain, rasage des seins ainsi que de ma verge et mes testicules, en partie. Culotte de femme en m'habillant. Je la porte encore.

Mes seins sont encore douloureux des traitements infligés ces derniers jours, et plus particulièrement ces dernières heures, mais je bande encore à l'idée de les aspirer de nouveau.


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Dimanche 5 mai 7 05 /05 /Mai 00:15

dimanche 28 avril

Le soir.

J'ai entrepris l'écriture des articles de mon blog, le récit d'hier, samedi 27 avril.

J'ai terminé cet article et son écriture m'a terriblement excité. Je pense à retourner lire le blog de la dominatrice, relire les directives concernant une candidature de soumission. Mais avant…

Passage rapide dans l'intimité des toilettes. Deux pinces à linge en bois dans une poche, une cordelette dans l'autre.

Pose des pinces. Bondage.

C'est donc ainsi équipé que je poursuis désormais, une pince sur chaque mamelons, un bondage soigneusement posé quelques dizaines de centimètres plus bas.

 

 

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Je vais lire à nouveau le blog, et la candidature, avec plus d'attention.

 

 

Je viens de retirer pinces et bondage.

Je crois qu'il va me falloir lire encore le blog. Je fut très excité (et je le suis encore), mais pas très attentif à vrai dire. Je sens mes couilles reprendre doucement l'espace retrouvé au sein de mon pantalon. Mes mamelons sont délicieusement douloureux.


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Samedi 4 mai 6 04 /05 /Mai 00:15

samedi 27 avril

 

Invité sur une soirée.

Avant de partir, je glisse dans mon sac quelques pinces, une cordelette.

Au retour, peut être, je poserai des pinces et un bondage :

- J'arrêterai la voiture dans un coin discret. Les pinces en plastiques utilisées sur mon ventre il y a quelques jours semblaient avoir une morsure plus intense que celle attendue. J'en poserai une sur chaque mamelons, à la place des pinces en bois utilisées habituellement.

- Je poserai d'autres pinces sur mes flancs, autour de mon nombril.

- J'effectuerai alors le bondage de ma verge et de mes testicules Je refermerai mon pantalon sur mes parties gonflées et comprimées. Puis je passerai ma ceinture, roulerai une clope, et je ferais ainsi la route du retour.

Fin de soirée.

Je reconduis un ami et trace la route du retour.

Je pose mon sac sur le siège passager, les accessoires à portée de main.

Mais je ne m'arrête pas dans un coin discret.

Je ne pose rien, ni pince, ni bondage.

J'y pense, tout le trajet du retour. Je laisse passer plusieurs opportunités de "coin discret".

Plus je roule, plus je sais que je ne vais pas m'arrêter, que je ne ferais pas ce qui m'excitait tant avant de partir pour cette soirée, et pourtant… J'en ai envie.

Non, autre chose me trouble l'esprit. La lecture de ce blog. La candidature. Je demeure clairement persuadé que certaines tâches sont irréalisables (question de matériel ou de circonstances). Que d'autres ne conviennent tout simplement pas à la conception que je me fais de ma soumission, des pratiques en étant exclues.

Mais le concept m'excite. Je bande sur ce trajet de retour. Obéir. Aveuglement. A une inconnue, une femme sans visage. Se soumettre à ses exigence, sans même sa présence. Un fantôme sur le web. Disposant de mon corps, de mon plaisir, et à fortiori, d'une partie de ma volonté…

Je me souviens de cette directive quotidienne : Une excitation obligatoire, mais jamais assouvie. Elle m'obsède. Je bande. Tout en conduisant d'une main, je me branle à travers le tissu de mon jean's de l'autre main.

Je finis par m'arrêter. Non loin de mon lieu d'habitation. Un coin peinard.

Dans l'obscurité de l'habitacle, je soulève pull et tee-shirt, et pose une pince sur chaque mamelon, une en plastique. Je sors la cordelette mais n'effectue pas le bondage.

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Je fume, tranquillement. Je continue de m'exciter à travers le jeans. Je pense encore et encore à cette privation.

Les pinces sont de plus en plus douloureuses. La pression n'est pas plus forte que sur les modèles en bois, mais la mâchoire plus étroite… Et moi je suis de plus en plus excité à l'idée de mettre en application une partie des directives lues sur le blog.

La sensation irradiant de mes mamelons écrasés s'étend petit à petit à chaque sein.

Je ressent clairement sa progression. Et ce faisant mes pensées tournent et tournent encore autour de cette idée qui devient obsession. Suivre les directives d'une autre personne. Une dominatrice fantôme avec laquelle je n'ai pas même pris contact…

Cela m'excite terriblement. D'une façon trouble et mal identifiée mais certaine.

Les pinces atteignent la limite du supportable. Je termine ma cigarette, les retire, reprend le petit bout de route jusqu'à la maison.

Mes pensées évoluent toujours autour du même sujet. J'ai du mal à les ordonner.

La sensation que je vais franchir une porte.

Derrière : Un chemin méconnu.

Je me couche.

 

Je me branle, mais ne m'autorise pas à jouir.


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Vendredi 3 mai 5 03 /05 /Mai 00:15

vendredi 26 avril 2013

 

J'ai lu ce blog, traitant d'une soumission virtuelle.

Le terme est inadéquat.

La relation est réelle, les exigences le sont, ainsi que les actes réalisés.

Il n'y a simplement aucun contact physique entre les partenaires, ce qui n'exclu en rien les plaisirs physiques individuels de part et d'autre, convenons en.

Ainsi donc, j'ai lu ce blog tenu par une dominatrice. Ce qui est demandé au soumis candidat ne me correspond pas tout à fait. Certains aspects me semblent irréalisable dans ma situation. Mais cela m'a excité. Je dois le confesser.

Pratiquant chevronné du plaisir en solitaire sous de multiples formes, incluant self-bondage, douleur et humiliation, je demeure convaincu du supplément de plaisir, la valeur ajoutée, lorsque les actes sont dictés par autrui.

Un programme d'une semaine sur ce blog donc, jour après jour. Des tâches à réaliser, des ordres  à exécuter. Un devoir. Une privation. Une récompense.

Ce soir là, dans les toilettes à l'abri d'une interruption surprise, je pose une pince sur chaque mamelons et un bondage de mes parties génitales, verge et testicules. Puis je demeure à m'exciter debout derrière le bureau, les images d'un bukkake défilant sur l'écran de l'ordinateur.

Je me couche.

Me masturbe.

Ejacule.

 

Etale quelque peu le sperme sur mon bas-ventre du bout des doigts et m'enveloppe dans la couette qui finit d'absorber les traces de mon plaisir.

 

La suite…


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Présentation

  • : Sweet, artiste soumis
  • Sweet, artiste soumis
  • : art
  • : J'aime la soumission. Pratiquant le self-bondage, l'autopunition, je confie ici mes désirs, mes expériences, mes fantasmes par le biais de l'écriture, du graphisme et des illustrations. Femmes dominatrices, maîtresses délicieuses, votre participation me comblerait.
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