récits & comptes-rendus

Mardi 21 mai 2 21 /05 /Mai 10:25

Samedi 4 mai (suite)

 

Je vide la baignoire. La rince, soigneusement. Je suis propre. Shampouiné. Savonné. Rasé. Soigneusement rincé.

 

Propre dans une baignoire propre.

 

Je ferme le bouchon.

 

M'allonge dans le fond. Les pieds sur le rebord je m'arcboute, bassin en l'air.

 

Je saisit mon sexe. Le dirige.

 

Ouvre la bouche.

 

Je pisse.

 

Dans ma bouche une première fois. Je la remplis. (Pas assez certainement me dis-je de suite en souvenir de l'expérience d'hier soir.) Ma poitrine un peu. Mon ventre. Mes cuisses. Entre mes cuisses. Je vois le liquide doré s'écouler, je le sens glisser entre mes fesses. Ma bouche à nouveau. Un jet jaillit sur mon visage. Un deuxième. J'ai de l'urine dans les yeux. Je continue.

 

Encore.

 

Ma bouche remplie. Débordante. J'en crache le contenu sur mon corps.

 

J'ai finis. La vessie vide. Je me tourne. A quatre patte vers l'évacuation que j'ai pris soin de fermer. Là où s'amoncelle la pisse. Je me glisse un doigt dans le cul, je plonge le visage, aspire, avale, aspire encore, joue avec. Manque de goût. Trop d'eau encore. Excitant tout de même.  

 

Je sortais alors. M'habillais. Je ne remis pas la culotte de femme que je portais depuis le début de la semaine, comme demandé sur le blog. Les directives de ce dernier incluaient de jouer avec lors du final. Mais à vrai dire cela ne m'excitait guère. Je préfère cent fois l'odeur d'une femme à la mienne.

 

Sachant donc dès le début que je n'userai pas de cette culotte à la fin, seul son port revêtait une certaine dose d'excitation. Cela finissant par passer, j'enfilais plutôt un string. Un DIM, lingerie perso. J'aime ça. Et le cul ainsi rasé, peut être pas très bien à cause du matériel, la ficelle d'un string ne pouvait qu'avoir à mes yeux pas mal d'attrait. Le rasage. Les frottements. Chaleur en perspective.

 

J'enfilais ensuite mon jean sur mon cul encore rouge, un tee-shirt type manches très courtes, moulant, et un sweet léger, serré lui aussi. J'avais eu clairement conscience en choisissant ces fringues que si je portais des pinces, elles allaient tirer un peu plus fort que d'ordinaire dessus…

 

Vers 20h30 petit trajet en voiture. Rapide. Sur le retour je pose deux pinces en bois à la hâte, d'une main. A l'aller, je répétais à plusieurs reprises "Je veux devenir une pute", plus ou moins fort, sur des tons différents. Suppliant. Affirmé. Dans un souffle. Puis, à l'adresse des dominatrices qui liront peut être ce blog un jour : "Faites de moi votre pute Maîtresses."

 

Parce qu'ils ont déjà subi pas mal de choses cette semaine ? Parce que les pinces étaient posées à l'aveugle trop en amont des mamelons ? Je ne sais, mais la douleur fut très supportable, voir inexistante.

 

Il est 22h30. Je suis rentré. J'ai écris tout cela. Et j'aimerais être certain que mon cul est propre en me couchant ce soir. Hier a été frustrant…

 

23h30.

 

Bien que je n'en ai pas parlé auparavant, celle fait maintenant plusieurs heures que la même idée me trotte en tête. Peut être depuis hier soir même…

 

Car c'est depuis hier que j'ai cette obsession quant à la propreté de mon intérieur anal. Et je n'ai plus de poire à lavement.

 

A une époque, il m'est arrivé de m'introduire des glaçons entre les fesses. Sensation délicieuse. Violente. Pas à l'introduction qui se fait dans un anus lubrifié, à la salive de préférence, teintée d'urine pourquoi pas. Avec des glaçons aux arrêtes soigneusement émoussées en les faisant fondre en partie. Non, pas à l'introduction, après.

 

Une fois trois ou quatre glaçon introduit, la sensation de froid venant de l'intérieur se fait dans mon souvenir de façon assez soudaine et violente. L'anus est pris de spasmes, et il faut tenir, ne pas tout lâcher. Cela ne dure guère longtemps, mais c'est intense.

 

Ce serait là un moyen alternatif à la poire pour me laver quelque peu de l'intérieur avant d'aller me coucher.

 

Mais cela fait au moins deux ans que je n'ai eu telle pratique. Peut être même le double.

 

0h40.

 

Je ne sais si je passerai à l'acte côté glaçons. Par contre je viens de remplir un verre ballon, du type verre à eau, mais sans eau. Un liquide dorée qui me nargue et me provoque en lieu et place. Boire à nouveau à la santé d'une Maîtresse potentielle.

 

En me branlant à travers le tissu de la poche gauche, j'ai failli jouir. Me suis arrêté à temps. Juste à temps car je sens maintenant un peu de liquide séminal couler sur ma cuisse.

 

J'ai posé deux pinces. Les ajustant correctement cette fois, très soigneusement. Sans surprise, tee-shirt et sweet moulant tirent un peu plus dessus.

 

1h10.

 

Les pinces commencent à se faire sentir sérieusement.

 

Ai pris une belle gorgée d'urine. Je l'ai en bouche. Moins que la dernière gorgée d'hier, plus que dans mes anciennes habitudes.

 

Me suis roulé une clope. Difficile de coller le papier avec la bouche pleine de pisse. Une goutte s'échappe à la commissure de mes lèvres, à droite. J'avale une partie. Une autre. Joue avec le reste en bouche. Me gargarise. Encore. Avale. Je fume ma clope.

 

Je sens le goût lorsque je salive. Je sens le liquide séchant sur mes lèvres.

 

1h20. 40 minutes de pinces. La gauche me fait presque me tortiller. J'ôte les deux pinces, délicatement.

 

2h00. J'ai du mal à me décider. La glace m'effraie quelque peu. L'urine est très forte aussi. Son goût inonde toujours ma bouche. Je vais boire un verre d'eau en cuisine. Tout en pensant que "Tant pis, les glaçons ce sera pour une autre fois".

 

Je reviens de la cuisine. Quatre gros glaçons commencent à fondre dans un récipient. Je viens de poser un bondage sur mes parties génitales. Les glaçons ont l'air presque prêts. Il ne va pas falloir tarder. Je re-pose une pince en bois sur chaque mamelon. Je prends une belle gorgée d'urine. Je prépare une clope pour après.

 

2h20. Quatre glaçons finissent de fondre dans mon cul.

 

Je me suis enfermé dans les toilettes. J'ai avalé l'urine en bouche, puis j'ai tout de suite enduis mes doigts de salive avant de l'étaler sur mon anus. Une deuxième fois. Je glisse un doigt. Deux. Je les écarte. Un troisième rentrerait facilement. Quelques vas et vient. Salive. Une troisième fois.

 

Je saisit le plus petit des glaçons.

 

La sensation la plus forte n'est pas à l'introduction. C'est froid. Point.

 

Mais un peu après, quand le froid commence à envahir l'intérieur… Cette sensation diminue vite dans la fournaise qu'est notre corps. Aussi ne faut-il pas tarder à faire suivre le deuxième glaçon. J'enchaînais avec le troisième. Fis une pause. Lubrifiais à nouveau l'orifice. Le quatrième, sans tarder, le plus gros.

 

illustration-sweet-05

 

Là se fut monstrueux. Et monstrueusement bon. Le froid se fit très très intense. Je fus pris de spasmes, les jambes tremblantes. L'abdomen prit de secousses saccadées.

 

J'ai cru que tout allait ressortir, que je n'allais pas tenir.

 

illustration-sweet-05

 

Je me suis positionné au dessus de la cuvette, pour évacuer, je craquais. Et puis j'ai voulu défaire le bondage auparavant. Ce fut extrêmement difficile, précipité, sans pouvoir précipiter les choses justement ce qui aurait eu pour effet de sans doute créer un beau paquet de noeuds. 

 

illustration-sweet-07

 

Résultat : Une fois le bondage ôté, le froid devenait supportable. Je me relevais, m'essuyais.

 

Depuis que j'écris, j'ai senti mon anus se relâcher trois ou quatre fois. Je l'ai resserré à temps à chaque fois, je crois. Ou la seule ficelle de mon string suffit à absorber l'eau qui s'échappe. En tout cas je n'ai encore rien senti couler le long de mes cuisses.

 

Par contre les pinces… On atteint les 40 minutes, comme tout à l'heure, et ça devient très chaud. Mes doigts de pieds se crispent.

 

Et j'ai surtout très envie de remettre des glaçons…


Publié dans : récits & comptes-rendus - Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 20 mai 1 20 /05 /Mai 00:28

Samedi 4 mai

 

16h00.

 

Me suis couché hier soir. Allongé en chien de fusil, sur le côté droit, enveloppé dans la couette. Mes mains remontées juste devant mon visage. Les doigts de la main gauche juste devant ma bouche.

 

La tentation était grande. Les sucer. Tout de suite. M'enculer.

 

Je ne le fis cependant pas immédiatement. Je me laissais bercer par cette envie.

 

Je portais attention à la sécrétion de salive dans ma bouche. Plus épaisse que d'ordinaire. Teinté de ce goût clairement identifiable…

 

Pas bien longtemps.

 

J'enfonçais dans ma bouche index et majeur gauche, les suçais goulument, faisant suivre l'annulaire. Je léchais les trois doigts, leur dos, leur côtés. Et laissais ma main filer silencieusement vers mon cul.

 

Le majeur. L'index. Le majeur à nouveau. Les deux, profondément. L'index, des vas et vient rapides, peu profonds. L'index, plus profond, sondant mon fondement.

 

J'eu alors un doute sur la propreté irréprochable de l'endroit. Des mois sans avoir ce genre de pratique. Des souvenirs flous quant aux sensations tactiles au fond de mon anus et leur signification. Strictement rien d'alarmant en l'occurrence mais je n'étais pas certain à 100% et préférais ne pas prendre de risque.

 

Je cessais donc mon activité à peine commencée.

 

Frustration.

 

Demain, je porterais un soin plus attentif à mon cul avant d'aller m'allonger.

 

Pourquoi demain ? Révélateur. Ai-je si hâte que cela de me dilater l'anus ?

 

Oui. Oui. Cent fois oui en vérité. Il faut l'admettre.

 

21h30. Il s'en est passé des choses depuis tout à l'heure et l'écriture des lignes précédentes.

 

Vers 17h30, je songeais à cette baguette de bois cassée l'autre jour en cinglant entre-cuisses et mamelons. Je ne peux me permettre de les casser les unes après les autres et laisser vide la réserve. Je pensais alors aux modèles en métal.

 

Direction le tiroir de la cuisine. Vérification. Les modèles les plus fins sont dans un mauvais était. Ecartés. Question de sécurité.

 

Un modèle attire mon attention : Un pic à brochette plat, 5 mm de large environ, 1 mm d'épaisseur, long, 35 cm à peu près. Test. Immédiat. dans les toilettes.

 

Je baisse mon jean, écarte les cuisses  et assène un premier coup. Moins cinglant que la baguette. Je recommence. Plusieurs. A gauche. Puis à droite. Avec les deux mains, l'une tirant la lamelle d'acier en arrière avant de la relâcher. Peu probant. Tendance à tordre le pic.

 

Déception donc. De courte durée. car j'avais ainsi les fesses à l'air, et naturellement je me laissais aller à y tester ce pic en métal. Et là…

 

Efficace. Rien à dire. Cinglant à souhait. Je repars dans le bureau avec une drôle de sensation. A renouveler. A approfondir.

 

image-15

 

A 18h30. J'envisageais un bain. En fait j'envisageais un peu plus que cela.

 

J'avais clairement pour projet de finir le rasage de mes parties intimes et, bien décidé à combler un jour très proche mon petit cul, autant inclure à mon projet les abords de mon anus.

 

J'embarquais donc pour la salle de bain muni de deux rasoirs jetables, la mousse à raser et un rasoir Gilette vibrant mais aux lames usées.

 

Je commençais par une prise de vue de mes entre-cuisses. Marques visibles. Nettement moins sur les photos. Mon cul ensuite. Jouissif. Je le vis dans le miroir arborer fièrement quelques zébrures rouges.

 

Je me laisse aller dans l'eau. Envie de pisser. Je me retiens. Inconsciemment, c'était prévu.

 

Rasage. Finition de mes couilles et ma verge d'abord. L'anus ensuite. Avec la médiocrité du matériel disponible, je fais de mon mieux. je varie les positions. Passe et repasse.

 

Plus ou moins consciemment, je veux dire par là : Une partie de ma pensée clairement consciente du projet à venir, excitée par celui-ci, l'autre comme se laissant aller, refusant de voir, qui prétextera plus tard avoir agit dans un état second. Ainsi donc je m'aperçu que j'étendais petit à petit ma zone de rasage, dégageant de plus en plus mon entrejambe.

 

La médiocrité des photos précédentes m'y encourageait. Avec moins de poils, les marques seront plus visibles, plus claires.

 

Plus bandantes aussi.

 

(ce qui est d'ailleurs le cas alors que j'écris ces lignes)

 

Je vide la baignoire. La rince, soigneusement. Je suis propre. Shampouiné. Savonné. Rasé. Soigneusement rincé.

 

Propre dans une baignoire propre.

 

Je ferme le bouchon.

 

M'allonge dans le fond. Les pieds sur le rebord je m'arcboute, bassin en l'air.

 

… à suivre


Publié dans : récits & comptes-rendus - Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 17 mai 5 17 /05 /Mai 00:15

Vendredi 3 mai

 

Cela fait une semaine désormais que j'ai lu ce blog tenue par une dominatrice. Dans quelques jours, cela fera une semaine que j'applique plus ou moins, plutôt moins que plus d'ailleurs, les directives à appliquer pour prétendre à une soumission "virtuelle".

 

Je dois le concéder, je suis très loin d'avoir respecté à la lettre les directives en question. Je me suis cependant restreint à ne pas jouir. M'exciter oui. Tout le temps. J'ai d'ailleurs l'impression après 6 jours sans jouir d'être excité en permanence. Parfois de façon franche et physiquement mesurable, mais il y a surtout cette sensation d'excitation sourde, lancinante, quotidienne, de chaque instant.

 

Je ne m'étais pas donné non plus comme objectif de respecter à la lettre les directives. Certaines, comme je l'ai écrit le vendredi 26 avril, ne me correspondant pas du tout. Dans l'ensemble, c'est plus une expérience personnelle, qui ne fait que confirmer la possibilité d'une soumission bien réelle sans contact physique réel.

 

Répéter "Je suis une pute" ou "Je veux devenir une pute" dans la voiture l'autre soir fut une première, comme la privation.

 

Grisant.

 

Je m'interroge sur l'effet que cela peut avoir en étant répété quotidiennement, comme lu sur le blog.

 

Ça ne freinera surement pas ce sentiment d'excitation permanente…

 

Aujourd'hui j'ai bossé sur divers projet. Difficile de se concentrer. Pas un moment sans penser à ces derniers jours…

 

A 15h30 petit rendez-vous client.

 

Avant de partir, à 15h00, je saisissait un bâtonnet de bois (pic à brochette) et m'en cinglait chaque sein autour des mamelons d'une demi-douzaine voir une dizaine de coups. Puis je posait à la hâte deux pinces en plastiques aux mâchoires étroites. J'embarquais ainsi pour mon rendez-vous.

 

Les pinces se firent très vite sentir.

 

Plus la route était abîmé, plus je m'efforçais de me tenir droit et de ressentir chaque cahot à la pointe de mes seins.

 

J'espérais secrètement porter les pinces durant mon entrevue.

 

Plus j'approchais de la destination plus cette envie se faisait claire, mais les pinces étaient également de plus en plus douloureuses.

 

Une centaine de mètres à peine avant l'arrivée, je craquais et glissais rapidement une main sous mes fringues pour ôter les deux pinces. Une pointe de déception. Le rendez-vous ayant été plus long que prévu, je n'aurai pas pu tenir si je les avais gardées, mais…

 

…à la prochaine occasion, je pose les pinces en bois et les garde en rendez-vous !

 

 

23h45.

 

Mes seins en ont pris pour leur grade ces derniers jours. Prudent de les épargner ce soir, au moins l'usage de la pompe et les pinces en plastiques, celles en bois…

 

Je les porte en ce moment.

 

Les mains sur la tête je viens de murmurer à plusieurs reprises "Mon sexe vous appartient Maîtresses", après "Je veux devenir une pute".

 

Avant cela, je suis passé aux toilettes, emportant un verre au passage. Je l'ai rempli aux 3/4. Petite envie. Mais suffisant.

 

Me suis maté la vidéo d'une blonde recevant des jets à pleine bouche, dégoulinante. Je prends une gorgée en bouche. Retourne dans le bureau. Le goût âcre de l'urine, mon urine. Je la garde en bouche. Je pose les pinces.

 

Nous en sommes là. J'ai avalé la gorgée depuis un certain temps.

 

Je termine une cigarette.

 

Le verre est encore bien rempli.

 

Une main me branlant à travers la poche, l'autre levant le verre, bien droit, je murmure "A votre santé Maîtresses" (Maîtresses à venir je l'espère). Je prend une bonne gorgée en bouche. Je l'ai encore en écrivant ces lignes.

 

illustration-sweet-03

 

Je prend des photos du verre. J'avale.

 

Le goût de l'urine imprègne ma bouche désormais. 

 

Quelques bouffée de ma cigarette ne suffisent pas à le faire passer.

 

Le verre doit pouvoir se finir en deux gorgées. La cigarette l'est presque elle. Je me donnais plus ou moins le challenge de terminer le verre avant la cigarette. Est-ce réalisable en une seule gorgée, à garder toute entière en bouche ?

 

Mais avant…

 

Je viens de poser un bondage de ma verge et de mes testicules.

 

illustration-sweet-02

 

C'est fait.

 

Une seule et unique gorgée.

 

Je dois me calmer.

 

Je suis hyper-excité. Et dire que le bondage ne me semblait pas assez serré… 

 

 Respirer. Par le nez. Calmement.

 

Ma bouche est remplie. L'impression de devoir faire un effort constant pour empêcher le liquide de jaillir sur mon clavier.

 

J'en imprègne mes lèvres. Par plaisir mais aussi pour les détendre, poussées qu'elles sont par le liquide.

 

C'est le moment que choisissent les pinces pour se faire sentir un peu plus fort. La droite doit glisser tout doucement…

 

J'avale un peu. Malgré moi. De micro-gorgées.

 

Je sens la salive se mélanger à l'urine. Je joue un peu avec en bouche. Avec ma langue. D'une joue à l'autre. La consistance change petit à  petit. Et je bande toujours autant.

 

J'avale petit à petit. Frotte mon sexe gonflé à travers le tissu d'une main. Me tient au bureau de l'autre.J'ai suffisamment avalé pour rendre le liquide facilement tenable en bouche. Je m'en veux presque.

 

Mais je sens l'urine séchée sur mes lèvres. Et la pince à droite devient difficilement supportable.

 

J'ai avalé.

 

En aspirant une bouffée d'air, le goût s'est ravivé en bouche.

 

J'ai retiré les pinces.

 

Je porte encore le bondage.

 

Je vais rallumer ma clope.

 

0h34. Je vais en fumer une autre. Me coucher.

 

Je ne me branlerai pas. Je le sais.

 

Peut être glisserai-je un doigt dans mon cul…


Publié dans : récits & comptes-rendus - Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 12 mai 7 12 /05 /Mai 22:44

jeudi 2 mai

 

Hier soir. Suite.

 

Dehors il pleut. Mon esprit est tendu vers les objets disposés à côté. Je suis excité, me branle à travers le jean's, faisant rouler ma queue de gauche à droite. Je visualise le bondage à venir, les pinces, l'aspiration… Je me fais aussi à l'idée que je n'utiliserai probablement pas la bougie. Hors de question d'en user à l'intérieur de la voiture et la météo…

 

Cigarette terminée.

 

J'ouvre la fermeture éclair de mon pull, saisi deux pinces en bois. J'allume la lumière de l'habitacle quelques instants, je soulève mon tee-shirt et je place soigneusement une pince sur chaque mamelons. J'éteins la lumière.

 

La suite est plus confuse, car petit à petit les sensations se sont accentuées et je me suis laissé entrainé par ces dernières. Mon récit perdra donc peut être en exactitude chronologique, veuillez m'en excuser par avance.

 

Je me souviens avoir exécuté ce bondage autour de mes testicules et la base de ma verge, avoir refermé mon pantalon et être demeuré ainsi assis un certain temps. Puis j'ai de nouveau soulevé mes fringues, dégageant ma poitrine. Je les coinçaient du menton et me saisissait du pic à brochette pour en appliquer quelques coups cinglants autour de chaque mamelon. Muni de mon smartphone je prenais quelques photos de mes seins.

 

J'étais très excité. L'érection se faisait de plus en plus forte, le bondage de plus en plus serré. Je m'amusais alors à plaquer mes deux mains de part et d'autres de mon sexe, aplatissant soigneusement mon jeans. Les formes dessinées par ma verge tendue et mes testicules étaient clairement identifiables. Ô la douce vision. J'en bandais plus fort encore.

 

Je me souviens m'être à nouveau masturbé à travers le tissu, mais je repensais alors à une des directives du blog découvert quelques jours plus tôt et je me mis alors à murmurer de façon répétitive : "Je suis une petite pute. Je suis une petite pute. Je suis une petite pute…"

 

L'excitation grimpe en flèche, ma voix aussi, je ne murmure plus.

 

Arrêt. Ca va vite, très vite. Mon esprit est en ébullition, les pensées tournent et tournent en tout sens, brinquebalées par le plaisir. Il faut freiner, et puis poursuivre, ne pas s'arrêter là.

 

Je sors la pompe Aspivenin, l'équipe de l'embout de taille moyenne. J'ôte une pince, la droite. J'allume la lumière. Place la pompe. J'aspire. La douleur est soudaine. L'effet d'un massage de mamelon après port de pince, soudain, brusque, et 10 fois plus puissant. Je gémit. Je ne garde la pompe que quelques secondes, la douleur est trop brusque, mais c'est bon et j'applique tout de même un traitement identique à mon sein gauche.

 

Je laisse mes mamelons se reposer un peu. La lumière est toujours allumé. Je place sur mes flancs, à proximité de mon nombril, mon stock de pinces en plastiques aux mâchoires si étroites. Je reprend les pinces en bois, les replace soigneusement sur mes mamelons. Je baisse mes fringues et entreprend de me rouler une clope.

 

Je dois poser tabac et compagnie sur mes cuisses. Il me faut les serrer. Je sens mes testicules comprimées entre mes jambes en plus du bondage qui les tiraille.

 

J'allume ma clope. Tire une bouffée profonde. Poitrine et ventre se gonflent, les pinces tirent sur ma peau. C'est bon. Je bascule en arrière contre le dossier. Aspire à nouveau à fond. "Je suis une petite pute" tourne dans ma tête et viens s'échoir sur le bout de mes lèvres, à nouveau. Le détail du blog me revient, la phrase exacte est "Je veux devenir une petite pute". Je la répète, à voix haute. Plusieurs fois. Une dizaine. "Je veux devenir une petite pute. Je veux devenir une petite pute. Je veux devenir une petite put…"

 

Mes testicules tiraillent vraiment. J'ouvre mon pantalon, les en dégage. Je défais le bondage et le refais, mais essentiellement sur ma queue cette fois. Je prend des photos. Ma verge. Les pinces.

 

Envie de quelque chose dans mon cul. Mais je n'ai rien à portée de main pouvant me combler, la bougie est trop grosse. Il pleut toujours. L'idée de quelques coups cinglants à l'intérieur de mes cuisses avec le pic à brochette me traverse. Il me faudrait baisser mon pantalon. Je serais dans une situation gênante si quelqu'un arrivait. Remonter rapidement un pantalon dans un habitacle exiguë est autre chose que de simplement laisser retomber un tee-shirt et cacher à la hâte le matériel disposé sur le siège.

 

L'idée grossit, enfle, et elle n'est pas la seule…

 

Je passe à exécution. Une dizaine de coups. A l'intérieur de chaque cuisse. Prise de vue. Le pantalon sur les chevilles, le tee-shirt remonté, le bondage sur ma bitte, les pinces… Des photos, beaucoup, sous différents angles. Je sais qu'ainsi, à l'arrache, nombreuses sont celles qui ne seront pas exploitables, floues ou mal cadrées. Alors j'insiste, et ça m'excite de me voir de temps en temps sur l'écran du smartphone.

 

Cela m'affole même. Je ne saurais désormais faire une description précise, je suis dans un état second. Comprimée dans son bondage, ma bite revêt une apparence quelque peu monstrueuse, veines saillantes, teinte violacée. Je photographie.

 

image-07

 

J'ôte les pinces sur mes flancs. Les marques sont claires, distinctes, je savoure.

 

Viens alors me hanter ce commandement de ne pas jouir. Alors doucement, peu à peu, j'ôte les divers accessoires, remonte mon pantalon, range le matériel.

 

Je termine ma clope restée éteinte pendant longtemps.

 

Je demeure immobile, laissant mes pensées se réagencer tranquillement. Etrange cette sensation : Ce mélange de plaisir et de douleur, d'excitation confuse, s'était toujours soldé auparavant par une éjaculation. Pas ici. Pas maintenant. Ce sentiment est nouveau. Il s'y joint là un sentiment de frustration. Mais c'est un peu comme si ce dernier n'arrivait pas à s'exprimer pleinement à cause du plaisir éprouvé (ou grâce à lui…), comme si il était muselé et s'agitait là dans ma conscience, clamant malgré tout sa présence.

 

Rentré. Couché. Je me glisse à sec deux doigts dans le cul.

 

 

 

Toujours est-il que ce matin, tandis que j'écris ce récit, je suis toujours victime d'une intense excitation.

 

J'ai perdu une partie des photos d'hier soir. Fausse manip avec le smartphone hier soir. Trop troublé. Déception.

 

Il faudra recommencer… (hummm)

 

--------------------------------

 

Mis en place beaucoup de choses pour le blog aujourd'hui. Quelques nouvelles créations. Des érections en permanence.

 

16h. Il faut que je fasse quelque chose, si je continue ainsi je vais jouir.

 

J'ai fais quelque chose.

 

Un bâtonnet de bois (pic à brochette).  Des coups. Plusieurs. A l'intérieur de chaque cuisse, une petite vingtaine. Sur chaque mamelon, une demie-douzaine. Prise de vue. Sur chaque mamelon encore. Une bonne demie-douzaine supplémentaire.

 

J'ai fais quelque chose. Le bâtonnet s'en est cassé.

 

Mais je suis toujours aussi terriblement excité.

 

image-08


Publié dans : récits & comptes-rendus - Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Jeudi 9 mai 4 09 /05 /Mai 00:15

mercredi 1er mai

 

La soirée d'hier fut plutôt calme, physiquement du moins, car mentalement j'envisageais de laisser se reposer quelque peu mes seins endoloris et de porter une attention soignée à mon sexe. De sortie j'embarquais donc au fond de mon sac cordelettes, pinces en plastiques ainsi qu'une bougie. Le chemin du retour pouvait ainsi paraitre prometteur.

Cependant, le retour fut très tardif, voir très matinal, et rien n'eu lieu. Je me couchais avec pas mal d'envies et ne me touchait point.

Aujourd'hui, mes mamelons conservent encore un volume supérieur à la normale, conséquences des aspirations successives d'hier, et bien que moindre, la sensation éprouvée lorsque je les masse quelque peu est proche de celle ressentie après un retrait de pinces.

Suis toujours très excité.

 

1h00 du mat. De retour de soirée. Avec une halte dans un coin discret avant de me retrouver derrière cet écran…

Me suis arrêté.

Phares éteints, sans éclairage public à proximité, aucune habitation en vue directe, habitacle du véhicule dans la pénombre, je termine une cigarette. Sur le siège passager : Ma cordelette rouge, quelques pinces en plastiques, d'autres en bois, un pic à brochette en bois également, le coffret Aspivenin et une bougie.

 

Je vais me coucher. Je raconterai demain. Ne pas me branler.


Publié dans : récits & comptes-rendus - Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

  • : Sweet, artiste soumis
  • Sweet, artiste soumis
  • : art
  • : J'aime la soumission. Pratiquant le self-bondage, l'autopunition, je confie ici mes désirs, mes expériences, mes fantasmes par le biais de l'écriture, du graphisme et des illustrations. Femmes dominatrices, maîtresses délicieuses, votre participation me comblerait.
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil
  • Contact

Recherche

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus