Jeudi 16 mai 4 16 /05 /Mai 00:15

Herself

 

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Mardi 14 mai 2 14 /05 /Mai 00:15

Levrette

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Dimanche 12 mai 7 12 /05 /Mai 22:44

jeudi 2 mai

 

Hier soir. Suite.

 

Dehors il pleut. Mon esprit est tendu vers les objets disposés à côté. Je suis excité, me branle à travers le jean's, faisant rouler ma queue de gauche à droite. Je visualise le bondage à venir, les pinces, l'aspiration… Je me fais aussi à l'idée que je n'utiliserai probablement pas la bougie. Hors de question d'en user à l'intérieur de la voiture et la météo…

 

Cigarette terminée.

 

J'ouvre la fermeture éclair de mon pull, saisi deux pinces en bois. J'allume la lumière de l'habitacle quelques instants, je soulève mon tee-shirt et je place soigneusement une pince sur chaque mamelons. J'éteins la lumière.

 

La suite est plus confuse, car petit à petit les sensations se sont accentuées et je me suis laissé entrainé par ces dernières. Mon récit perdra donc peut être en exactitude chronologique, veuillez m'en excuser par avance.

 

Je me souviens avoir exécuté ce bondage autour de mes testicules et la base de ma verge, avoir refermé mon pantalon et être demeuré ainsi assis un certain temps. Puis j'ai de nouveau soulevé mes fringues, dégageant ma poitrine. Je les coinçaient du menton et me saisissait du pic à brochette pour en appliquer quelques coups cinglants autour de chaque mamelon. Muni de mon smartphone je prenais quelques photos de mes seins.

 

J'étais très excité. L'érection se faisait de plus en plus forte, le bondage de plus en plus serré. Je m'amusais alors à plaquer mes deux mains de part et d'autres de mon sexe, aplatissant soigneusement mon jeans. Les formes dessinées par ma verge tendue et mes testicules étaient clairement identifiables. Ô la douce vision. J'en bandais plus fort encore.

 

Je me souviens m'être à nouveau masturbé à travers le tissu, mais je repensais alors à une des directives du blog découvert quelques jours plus tôt et je me mis alors à murmurer de façon répétitive : "Je suis une petite pute. Je suis une petite pute. Je suis une petite pute…"

 

L'excitation grimpe en flèche, ma voix aussi, je ne murmure plus.

 

Arrêt. Ca va vite, très vite. Mon esprit est en ébullition, les pensées tournent et tournent en tout sens, brinquebalées par le plaisir. Il faut freiner, et puis poursuivre, ne pas s'arrêter là.

 

Je sors la pompe Aspivenin, l'équipe de l'embout de taille moyenne. J'ôte une pince, la droite. J'allume la lumière. Place la pompe. J'aspire. La douleur est soudaine. L'effet d'un massage de mamelon après port de pince, soudain, brusque, et 10 fois plus puissant. Je gémit. Je ne garde la pompe que quelques secondes, la douleur est trop brusque, mais c'est bon et j'applique tout de même un traitement identique à mon sein gauche.

 

Je laisse mes mamelons se reposer un peu. La lumière est toujours allumé. Je place sur mes flancs, à proximité de mon nombril, mon stock de pinces en plastiques aux mâchoires si étroites. Je reprend les pinces en bois, les replace soigneusement sur mes mamelons. Je baisse mes fringues et entreprend de me rouler une clope.

 

Je dois poser tabac et compagnie sur mes cuisses. Il me faut les serrer. Je sens mes testicules comprimées entre mes jambes en plus du bondage qui les tiraille.

 

J'allume ma clope. Tire une bouffée profonde. Poitrine et ventre se gonflent, les pinces tirent sur ma peau. C'est bon. Je bascule en arrière contre le dossier. Aspire à nouveau à fond. "Je suis une petite pute" tourne dans ma tête et viens s'échoir sur le bout de mes lèvres, à nouveau. Le détail du blog me revient, la phrase exacte est "Je veux devenir une petite pute". Je la répète, à voix haute. Plusieurs fois. Une dizaine. "Je veux devenir une petite pute. Je veux devenir une petite pute. Je veux devenir une petite put…"

 

Mes testicules tiraillent vraiment. J'ouvre mon pantalon, les en dégage. Je défais le bondage et le refais, mais essentiellement sur ma queue cette fois. Je prend des photos. Ma verge. Les pinces.

 

Envie de quelque chose dans mon cul. Mais je n'ai rien à portée de main pouvant me combler, la bougie est trop grosse. Il pleut toujours. L'idée de quelques coups cinglants à l'intérieur de mes cuisses avec le pic à brochette me traverse. Il me faudrait baisser mon pantalon. Je serais dans une situation gênante si quelqu'un arrivait. Remonter rapidement un pantalon dans un habitacle exiguë est autre chose que de simplement laisser retomber un tee-shirt et cacher à la hâte le matériel disposé sur le siège.

 

L'idée grossit, enfle, et elle n'est pas la seule…

 

Je passe à exécution. Une dizaine de coups. A l'intérieur de chaque cuisse. Prise de vue. Le pantalon sur les chevilles, le tee-shirt remonté, le bondage sur ma bitte, les pinces… Des photos, beaucoup, sous différents angles. Je sais qu'ainsi, à l'arrache, nombreuses sont celles qui ne seront pas exploitables, floues ou mal cadrées. Alors j'insiste, et ça m'excite de me voir de temps en temps sur l'écran du smartphone.

 

Cela m'affole même. Je ne saurais désormais faire une description précise, je suis dans un état second. Comprimée dans son bondage, ma bite revêt une apparence quelque peu monstrueuse, veines saillantes, teinte violacée. Je photographie.

 

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J'ôte les pinces sur mes flancs. Les marques sont claires, distinctes, je savoure.

 

Viens alors me hanter ce commandement de ne pas jouir. Alors doucement, peu à peu, j'ôte les divers accessoires, remonte mon pantalon, range le matériel.

 

Je termine ma clope restée éteinte pendant longtemps.

 

Je demeure immobile, laissant mes pensées se réagencer tranquillement. Etrange cette sensation : Ce mélange de plaisir et de douleur, d'excitation confuse, s'était toujours soldé auparavant par une éjaculation. Pas ici. Pas maintenant. Ce sentiment est nouveau. Il s'y joint là un sentiment de frustration. Mais c'est un peu comme si ce dernier n'arrivait pas à s'exprimer pleinement à cause du plaisir éprouvé (ou grâce à lui…), comme si il était muselé et s'agitait là dans ma conscience, clamant malgré tout sa présence.

 

Rentré. Couché. Je me glisse à sec deux doigts dans le cul.

 

 

 

Toujours est-il que ce matin, tandis que j'écris ce récit, je suis toujours victime d'une intense excitation.

 

J'ai perdu une partie des photos d'hier soir. Fausse manip avec le smartphone hier soir. Trop troublé. Déception.

 

Il faudra recommencer… (hummm)

 

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Mis en place beaucoup de choses pour le blog aujourd'hui. Quelques nouvelles créations. Des érections en permanence.

 

16h. Il faut que je fasse quelque chose, si je continue ainsi je vais jouir.

 

J'ai fais quelque chose.

 

Un bâtonnet de bois (pic à brochette).  Des coups. Plusieurs. A l'intérieur de chaque cuisse, une petite vingtaine. Sur chaque mamelon, une demie-douzaine. Prise de vue. Sur chaque mamelon encore. Une bonne demie-douzaine supplémentaire.

 

J'ai fais quelque chose. Le bâtonnet s'en est cassé.

 

Mais je suis toujours aussi terriblement excité.

 

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Vendredi 10 mai 5 10 /05 /Mai 00:15

Quelques mots au sujet de la soumission virtuelle :

 

Elle n'a rien de virtuel ! Certes, la rencontre physique, le contact des partenaires en est exclu, mais il s'agit bel et bien d'un partenariat, d'une relation saine et consensuelle basée sur la confiance.

Il existe bien sûr des personnes pour lesquelles ce genre de relation demeurera purement virtuelle, n'ayant pour objectif que d'émoustiller leurs sens. Grand bien leur fasse, je ne les blâme pas pour cela et chacun demeure libre de ses pratiques. 

Je n'apprécie que moyennement ce terme, "virtuelle". Est-ce parce que le contact physique est exclu de la relation et que tout se passe par le biais des mails, webcam et autre que la dite soumission devient virtuelle ? Faut il considérer là comme c'est souvent le cas qu'il ne s'agit pas d'une réelle soumission ?

Pour ma part, il peut y avoir un réel sentiment de soumission à travers une relation basée sur un échange d'écrits et d'images.

C'est une opinion personnelle et elle n'engage que moi, je ne cherche pas à imposer quoique ce soit, mais si cela à quelque intérêt à vos yeux je vous invite à poursuivre la lecture.

 

En tant qu'opinion personnelle, elle est basée sur des expériences de même ordre. Il est bon pour comprendre mon opinion actuelle de saisir ce qui a pu la fonder :

 

Ma pratique initiale, en matière d'autopunition, était spontanée. Je me donnais du plaisir (masturbation, anal…) en même temps que de la douleur (pinces, bougies…). La base quoi ;-)

Cette pratique a évoluée, tout d'abord en y incluant de plus en plus fréquemment un miroir. Je tirais de plus en plus d'excitation et par conséquent de plaisir à voir, "me" voir.

Se développait alors le sentiment d'humiliation. D'abord après la jouissance, ou je prenais du recul par rapport à ce que je venais de faire ou de "me faire" mais où les images reflétées par le miroir empêchaient mon esprit de vite "oublier" ce petit abandon de moi-même . Cette lutte devint plus claire. Une conscience qui tente de vite mettre au placard certains événements d'une part, et d'autre part, une forme de subconscient grandement excité par les mêmes événements.

Constat humiliant que, dans certaines conditions d'excitation, une partie de moi même devient incontrôlable, me faisant accomplir des actes que nombreux jugeraient comme dégradants.

 

De ce fait, cette alchimie du plaisir ressenti, de la douleur qui l'accroit, et de l'humiliation ressenti à le voir  n'a fait que me pousser plus loin. J'intégrais petit à petit à mes jeux de l'urine (la mienne), du sperme (le mien), de plus en plus excité par la "bassesse" des actes, et en tirant toujours de plus en plus de plaisir.

 

Sur le web, je me fis passer pour une femme. Rencontrant donc assez rapidement des hommes prêt à me dicter des ordres par mail. J'effectuais des comptes rendus très détaillées, illustrés de dessins. Je tire plusieurs choses de cette expérience :

 

- il faut mentir, ruser, sans arrêt, inventer des prétextes plausibles. C'est fatiguant dans le fond. Et au jour d'aujourd'hui, je n'ai pas envie de mentir, "j'ai passé l'âge de ces conneries" comme dirait l'autre.

- obéir aux directives d'une autre personne est bien plus excitant que de se laisser aller seul. Bien plus humiliant quant à ce jeu de "ce que je fais"/"ce que j'en tire comme plaisir"/"Ce que je vois".

- mais du coup, pour que la sauce prenne et que votre interlocuteur rentre dans le jeu, il faut lui donner une contre partie

 

C'est là, à mon sens, le point essentiel. Toute relation est un échange. La relation dominateur/soumis en est un. Dans le cas d'une soumission dite "virtuelle", il fonctionne ainsi, à mon sens bien sûr :

 

1/ Le dominateur écrit les directives

2/ Le soumis lit les directives

 

Ces deux phases sont souvent répétées. Car lorsque le soumis va exécuter les ordres, le dominateur ne sera pas présent, et tout doit être réglé comme du papier à musique. Il faut bien sûr passer aux actes à un moment donné, mais ces deux phases préliminaires peuvent très bien, et doivent c'est mieux, devenir une période d'excitation mutuelle entre soumis et dominateur. Le fait qu'une date soit donné pour l'exécution va dans ce sens. Chacun attend.

 

3/ Le soumis exécute les ordres

 

Pour le soumis, c'est la phase "physique", celle du plaisir ressenti. Celle ou il obtient quelque chose de la part du dominateur et ne donne rien sur l'instant.

 

4/ Le soumis réalise son compte-rend

5/ Le dominateur lit le compte-rendu

 

Je crois la phase 4, l'écriture du compte rendu, essentielle à une bonne relation de domination "virtuelle". C'est à mon sens de cette dernière que va dépendre le plaisir du dominateur. C'est au tour du soumis de donner. La lecture du compte-rendu doit donc provoquer chez le dominateur de l'excitation. N'ayant pas le pouvoir d'imposer au dominateur de se donner du plaisir, le soumis doit en provoquer l'envie. Si a la lecture du compte-rendu le dominateur est excité au point de se masturber ou se donner du plaisir par tout autre moyen de son choix, c'est gagné.

Et pour ma part, je part du principe que si la rédaction et surtout la relecture du compte-rendu provoque chez moi une excitation c'est que je suis sur la bonne voie pour exciter mon lecteur (ma lectrice).

 

Ainsi donc, cette expérience du web et de la soumission "virtuelle" en me faisant passer pour une femme, fut particulièrement enrichissante.

J'avais la certitude que le soin apporté à la préparation de la séance et la qualité du compte-rendu étaient deux aspects clé de cette forme de relation, et rendaient possible du plaisir de part et d'autre.

Je savais également que c'était terriblement bon !

Fatigué de mentir sur mon identité, j'arrêtais alors ce petit jeu, mais je me privais du même coup d'une incommensurable source de plaisir.

Comme pas mal de personnes pratiquant l'autopunition, je mis alors au point un système aléatoire, à base de dés et de quelques notes, me dictant les actes à accomplir. Cela fonctionne. J'ai pris beaucoup de plaisir grâce à ce système. J'en ai d'ailleurs fais la narration sur un forum (Vassilia).

Mais il faut bien admettre que si l'excitation ressenti à obéir aveuglément au résultats d'un lancé de dés est un "plus" dans une pratique solitaire, cela demeure bien une pratique "solitaire"…

Et avec le temps, j'aimerais développer mon expérience. Je suis las de l'aspect "solitaire" de la chose. Je suis convaincu qu'une relation de domination peut fonctionner sans contact "réel". Cela demande seulement pas mal d'investissement de part et d'autre. Car si le soumis se doit de passer du temps à la qualité de ses comptes-rendus, le dominateur doit passer aussi du temps à saisir les possibilités et les envies du soumis.

Bien comprendre ce qui excite le soumis, quelles sont ses limites, jusqu'où peut-on le pousser, assure une séance d'éxécution jouissive pour ce dernier. Et dans mon cas, plus la séance est bonne, plus je m'implique naturellement dans l'écriture du compte-rendu, plus les sensations à y transmettre sont fortes et excitantes.

 

Voilà. C'est ce que vous trouverez sur ce blog

J'y fais la narration de mes expériences personnelles et de cette envie prononcée de voir un jour une dominatrice ayant le désir de me "prendre en main" intégrer ce champ d'expériences.


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Jeudi 9 mai 4 09 /05 /Mai 00:15

mercredi 1er mai

 

La soirée d'hier fut plutôt calme, physiquement du moins, car mentalement j'envisageais de laisser se reposer quelque peu mes seins endoloris et de porter une attention soignée à mon sexe. De sortie j'embarquais donc au fond de mon sac cordelettes, pinces en plastiques ainsi qu'une bougie. Le chemin du retour pouvait ainsi paraitre prometteur.

Cependant, le retour fut très tardif, voir très matinal, et rien n'eu lieu. Je me couchais avec pas mal d'envies et ne me touchait point.

Aujourd'hui, mes mamelons conservent encore un volume supérieur à la normale, conséquences des aspirations successives d'hier, et bien que moindre, la sensation éprouvée lorsque je les masse quelque peu est proche de celle ressentie après un retrait de pinces.

Suis toujours très excité.

 

1h00 du mat. De retour de soirée. Avec une halte dans un coin discret avant de me retrouver derrière cet écran…

Me suis arrêté.

Phares éteints, sans éclairage public à proximité, aucune habitation en vue directe, habitacle du véhicule dans la pénombre, je termine une cigarette. Sur le siège passager : Ma cordelette rouge, quelques pinces en plastiques, d'autres en bois, un pic à brochette en bois également, le coffret Aspivenin et une bougie.

 

Je vais me coucher. Je raconterai demain. Ne pas me branler.


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Présentation

  • : Sweet, artiste soumis
  • Sweet, artiste soumis
  • : art
  • : J'aime la soumission. Pratiquant le self-bondage, l'autopunition, je confie ici mes désirs, mes expériences, mes fantasmes par le biais de l'écriture, du graphisme et des illustrations. Femmes dominatrices, maîtresses délicieuses, votre participation me comblerait.
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